Ann-Renée Desbiens et Marie-Philip Poulin, deux joueuses évoluant avec la Victoire de Montréal, risque de ne pas pouvoir faire partie du tournoi Mondial 2027. En effet, avec la ligue qui évolue, cela mène à des contraintes au niveau de l’horaire avec l’IIHF. Sans oublier les risques de blessures qui peuvent survenir en tout temps.
En négociation
L’an passé, la LPHF avait mis trois dates en pause sur le calendrier pour laisser les joueuses et entraîneurs participants des internationaux. Aussi, la LPHF a dut mettre en pause durant trois semaines au mois d’avril, alors que les éliminatoires étaient en approche.
La ligue tente de trouver bonne entente avec l’IIHF qui fera le Mondial soit en mars ou en avril. Avec les Olympiques qui se dérouleront du 6 au 22 février en Italie complique la donne. Tellement, que le pays d’hôte et les dates ne sont pas annoncées.
Des compromis
«Il faut trouver des compromis. C’est difficile parce que notre calendrier de ligue est différente de celui en Europe. C’est dur de trouver une bonne date pour tout le monde» reconnaît Desbiens. La LPHF aurait demandé a la fédération de l’organiser en novembre avant le début de saison. Les joueuses sont donc prisent entre les deux. Elles sont obligées de respecter ce qui ai dit du côté de la ligue, malgré qu’elles sont folles de joie de représenter leur pays.
Une catastrophe
Si Desbiens et Poulin ne jouent pas dans notre province pour le Mondial cela serait une catastrophe. «J’espère que çela aura un impact positif, que ça va inspirer les jeunes à continuer de travailler fort pour se rendre à niveau-là. On a effectivement besoin d’ambassadrices au Québec», a exprimé Ann-Renée, en fesant référence au camps d’orientation qui avait seulement trois québécois. Elle ne promet à personne qu’elle y serait de la partie, mais elle sera là pour y assister.

